Au moins 352 ex-combattants des Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) ainsi que leurs dépendants ont quitté leur camp à Kanyabayonga sous escorte des forces de l'ordre et de sécurité ce mardi 20 novembre pour la ville de Goma

Occurred in Congo, Dem. Rep. on Nov. 6, 2018 at 10:05 a.m.
Reported by Chacal Kyalwahi via SMS on Nov. 6, 2018 at 1:10 p.m.
# government # FDLR

This report is Confirmed true and is of Low Priority. Here is why -
En territoire de Lubero dans la cité de Kanyabayonga province du Nord-Kivu à l’Est de la république démocratique du Congo, au moins 300 ex-combattants rebelles de la Force démocratique pour la libération du Rwanda (FDLR) cantonnés à Kanyabayonga disent non de leurs retours au Rwanda sans aucun dialogue avec le gouvernement de Kagame, bien que le moratoire fixé par les chefs d’Etats signataires de mécanisme régional de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba sur le retour volontaire a été expirer depuis le 20 octobre dernier, ces rebelles appellent Kigali à un dialogue pacifique . Pour la société civile locale, la présence prolongée de ces ex-rebelles dans cette cité depuis plus de deux ans maintenant constitue une menace sérieuse pour la sécurité de la province en générale et du territoire de Lubero en particulier. Les autorités rassurent que toute est mise en œuvre pour la sécurisation de la zone et le processus lié au rapatriement volontaire de ces ressortissants du Rwanda est en cours. En dépit de l’expiration du moratoire le 20 octobre dernier comme fixé par les chefs de l’Etats des pays membres signataires du mécanisme régional de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba sur le retour volontaire des ex-combattants de la Force Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR) dans leur pays d’origine le Rwanda , un flou plane sur ledit processus .Du côté de la république démocratique du Congo , de l’union africaine , ainsi donc des autres organisations régionales , comme la Communauté de Développement d’Afrique Australe (SADEC) en sigle et la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL) , aucune avancée dans ce dernier .Silence total de la part des autorités congolaises et des toutes ces organisations régionales, situation qui inquiète de plus en plus la société civile locale. Cette structure citoyenne affirme que la présence de ces ex-rebelles Rwandais FDLR à Kanyabayonga constitue une menace sérieuse pour la sécurité de la province du Nord-Kivu. « Nous comme société civile de Kanyabayonga nous avons alerté toutes les autorités provinciales tant que nationales. Notre crainte est que, tous, nous savons que ces FDLR sont des militaires, ils sont à côté de la population ils peuvent commettre des exactions à n’importe quand, »déclare le président de la société civile de Kanyabayonga Alfred Kambale. Comment vive la population dans ce flou à Kanyabayonga. Contacter l’administrateur du territoire de Lubero précise que la situation reste calme à Kanyabayonga et ses environs en dépit de l’expiration de ce moratoire. Nyembo wa Nyembo Richard précise qu’il s’est rendu personnellement dans la cité de Kanyabayonga pour s’enquérir de la situation. « J’ai pris contact avec les personnels de DDDRR de la Monusco qui gère le champ de ces ex-rebelles, on a discuté que la mission onusienne devrait continuer à faire la prise en charge de ces ex-combattants FDLR jusqu’à nouvel ordre,» a déclaré l’administrateur du territoire de Lubero Nyembo wa Nyembo Richard Joint au téléphone par www.kijijichaamani.org Le même propos a été confirmé par le responsable de la section de DDDRR de la Monusco à Goma sans d’autres détails. Que pense Kinshasa à propos de cette question Au niveau du Gouvernement congolais, la question de rapatriement de ces ex-rebelles FDRL reste d’actualité et les opérations sont en cours sans préciser leur nature a dit Patient Chirimwami conseilleur au bureau du représentant du chef de l’Etat congolais dans le mécanisme régional de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba. Il a également affirmé qu’au cours de la 9eme réunion de haut niveau tenue à Kampala en date du 8 octobre dernier , la même question a été débattue par tous les délégués à cette rencontre. Patient Chirimwami a affirmé cependant que les stratégies prises par tous les délégués ne peuvent pas être divulguées sur les medias, avant de souligné que le Rwanda a déjà accepter sans condition le retour de tous ces ex-combattants FDLR dans leur pays. Rappelons que plus de 300 combattants cantonnés à Kanyabayonga conditionnent leur retour au Rwanda par un dialogue avec le gouvernement de Kigali.
Resolution added by - Kataliko James
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